DE LA CRAU est un groupe marseillais aux influences Rock, Folk, Punk, mâtiné de poésie moderne. Un univers sobre, à la puissance contenue, des mélodies traversées de poésies aux mille visages. Sam Karpienia chante un provençal rugueux et hors-sol distordu par des riffs en boucle de guitares électriques. Thomas Lippens martèle la transe à coups de percussions et de […]
Dans ce solo voix et tambours sur cadre, Manu Théron s’accompagne d’un bendir ou d’un pandeiro pour retracer avec joie et volubilité les parcours de ces chants. Il ne s’interdit aucune citation: du Raggamuffin à la Classica Napoletana, du chant séfarade aux musiques occitanes. Le tombeau suspendu est cet hommage rendu au trésor anonyme des musiques populaires de Méditerranée.
Dans la musique de De La Crau, on se frotte à une transe poétique quasi-bestiale, qui impressionne, rugit, interpelle. L’énergie viscérale de ces compositions renvoie à des paysages industriels, à des déserts minéraux… une certaine poésie de la rugosité.
Le trio nous emmène dans sa transe poétique post-rock… Musique ainsi nommée puisque qualificatif et genre, il faut apposer. Mais De La Crau est du genre inclassable : c’est une vague d’émotions entre rage et passion, un souffle musical rauque qui vous transporte là où vous n’auriez même pas imaginer vagabonder. À découvrir sur scène pour se laisser complètement électriser !
Présent dès les premiers balbutiements du Trobar (la poésie des troubadours), le sirventés est de style contestataire : il décrit sans ménagement les violences de son siècle, la stupidité des puissants et la fugacité des sentiments humains. Au cliché réduisant le troubadour à un amant éploré réfugié dans sa tour d’ivoire, le sirventés oppose l’image d’un poète-musicien qui brocarde les princes, moque l’Eglise, pris avec ses contemporains dans les tourments et la guerre.
Les trois musiciens ont choisi de respecter, en les développant ou en s’en inspirant, les mélodies originales, consignées à la fin du XIIIème siècles par les derniers troubadours.
Présent dès les premiers balbutiements du Trobar (la poésie des troubadours), le sirventés est de style contestataire : il décrit sans ménagement les violences de son siècle, la stupidité des puissants et la fugacité des sentiments humains. Au cliché réduisant le troubadour à un amant éploré réfugié dans sa tour d’ivoire, le sirventés oppose l’image d’un poète-musicien qui brocarde les princes, moque l’Eglise, pris avec ses contemporains dans les tourments et la guerre.
Le trio SIRVENTÉS poursuit son exploration des grands textes de la lyrique des troubadours en associant des musiciens du Tamilnadu (Inde du sud) à l'élaboration finale du répertoire de « Batèsta », son prochain album.
Présent dès les premiers balbutiements du Trobar (la poésie des troubadours), le sirventés est de style contestataire : il décrit sans ménagement les violences de son siècle, la stupidité des puissants et la fugacité des sentiments humains. Au cliché réduisant le troubadour à un amant éploré réfugié dans sa tour d’ivoire, le sirventés oppose l’image d’un poète-musicien qui brocarde les princes, moque l’Eglise, pris avec ses contemporains dans les tourments et la guerre.
Le trio SIRVENTÉS poursuit son exploration des grands textes de la lyrique des troubadours en associant des musiciens du Tamilnadu (Inde du sud) à l'élaboration finale du répertoire de « Batèsta », son prochain album.
Cinq chanteurs-percussionnistes, interprètes déjantés représentatifs de la scène marseillaise actuelle. C’est à dire jeune, hyper-urbaine, bigarrée, polymorphe et sans complexe. Ils chantent à tue-tête, tapent des pieds, des mains et sur leurs bendirs, évoquant toutes les formes de danses de transe qui les font vibrer. Loin des polyphonies auxquelles nous sommes habituées. Leur interprétation du répertoire occitan est basée sur le déchainement et la fièvre.
De La Crau est un groupe marseillais aux influences rock, folk, punk, mâtiné de poésie moderne. Un univers sobre, à la puissance contenue, des mélodies traversées de poésies aux mille visages.
Lo Còr de la Plana réinvente la vocalité méridionale, en la mêlant aux sonorités archaïques d’une Méditerranée à la fois déchaînée, âpre et fusionnante. La percussion et la voix composent le couple emblématique de ce rituel rudimentaire, minimal, accompagné par ce que le corps peut encore faire battre d’essentiel : les mains, les pieds ou les peaux. Manu Théron a réuni pour ce projet quatre autres chanteurs percussionnistes à l’énergie communicative : Benjamin Novarino-Giana, Sébastien Spessa, Denis Sampieri et Rodin Kaufmann.
DUÒ LAVOÀ LAPÒ – CONCERT – FORA DO LUGAR – FESTIVAL INTERNATIONAL DE MÚSICAS ANTIGAS (PORTUGAL)
novembre 29 @ 21 h 00 min - 22 h 15 min
DUÒ LAVOÀ LAPÒ – WALK AND TALK – FORA DO LUGAR – FESTIVAL INTERNATIONAL DE MÚSICAS ANTIGAS (PORTUGAL) – 30/11/2024
novembre 30 @ 10 h 30 min - 11 h 30 min
TRIÒ LAVOÀ LAPÒ-BIENNALE INTERNATIONALE DE PERCUSSIONS-CONAKRY (GUINÉE)-05/12/2024
décembre 5 @ 19 h 00 min - 20 h 30 min
DUÒ LAVOÀ LAPÒ- CONCERT À LA MESÓN (13)-23/11/2024
novembre 23 @ 20 h 00 min - 21 h 30 min
BENJAMIN MÉLIA – CONCERT POUR L’INAUGURATION DE LA SALLE DE SPECTACLE DE TAXI PANTAI (84) – 17/11/2024
novembre 17 @ 17 h 00 min - 19 h 00 min
DUÒ LAVOÀ LAPÒ-RENCONTRE DANS LE CADRE DU CALENDARIO POPOLARE (PISE-ITALIE)-09/11/2024
novembre 9 @ 14 h 00 min - 15 h 00 min
DUÒ LAVOÀ LAPÒ-CONCERT-CALENDARIO POPOLARE (PISE-ITALIE)-08/11/2024
novembre 8 @ 21 h 00 min
BENJAMIN MÉLIA – CONCERT SUIVI D’UN ÉCHANGE AVEC LE PUBLIC – SALLE MUSSOU (83) – 03/11/2024
novembre 3 @ 15 h 00 min - 17 h 00 min
