Sous la plume d’un Sam Karpienia inspiré comme jamais, emmené à son apogée par l’archet sombre et vigoureux de Manu Reymond et le set coloré de Thomas Lippens, ils explorent un sillon creusé il y a vingt ans non loin des usines, comme une plaie qu’ils continueraient de soigner pour l’éternité, et que le chant et la mandole ne parviendraient à apaiser que dans l’amplitude âpre de ces horizons.
Le trio détonnant continue d’étonner avec sa transe poétique post-rock… Musique ainsi nommée puisque qualificatif et genre, il faut apposer. Mais DE LA CRAU est du genre inclassable : c’est une vague d’émotions entre rage et passion, un souffle musical rauque qui vous transporte là où vous n’auriez même pas imaginer vagabonder.
À découvrir sur scène pour se laisser complètement électriser !