LES RENCONTRES VOCALES Adultes, enfants, seniors sont accueillis lors d’ateliers, de concerts et de temps forts; tous ces chanteurs amateurs sont encadrés par des professionnels (chefs de chœur, artistes, chanteurs, musiciens, musiciens intervenants – dumistes) : la diversité de leurs profils et parcours permet une grande variété de propositions, de savoir-faire, d’esthétiques et techniques. Les Rencontres Vocales, c’est aussi un festival annuel qui a conquis un large public; en outre, cet événement contribue à fédérer un réseau autour des pratiques collectives musicales vocales à Marseille, et au-delà. Depuis 2021, cet événement est réalisé en partenariat avec la Mairie du 6/8.
Inscriptions à venir en ligne ici >>> (site association-lesvallones.fr)
- Damien Legrand, atelier chant sarde
- Manu Theron, chants de Provence et d’autres Pays d’Òc
- Russo Barth, atelier circle song et percussion corporelle
- Julie Avril, atelier chant à danser.
- Sylvie Azema, ateliers éveil musical parents/enfants pour maternelles (09:30) et primaires (11:00)
- Deborah Nabet, atelier improvisation (jeux vocaux et circle songs)
- Clara Sfez, atelier chant du monde
- Nicolas Leguet, atelier technique vocale
- Amine Soufari, atelier chant arabe
- Sarah Cattan, chœur des Sauvages (les Indes galantes de Rameau)
- Galite, atelier Chanson pop et atelier Chanter contre les violences faites aux femmes
Auteur, Compositeur, Interprète, Directeur artistique, Programmateur de la Cité de la Musique de Marseille, Chevalier des Arts et des Lettres
Après une enfance musicale (apprentissage du piano) marquée par une grand-mère chanteuse lyrique et des parents amateurs de Rock et de musiques électroniques, c’est en 1987, aux beaux-arts de Marseille, que Manu Théron reprend contact avec une pratique musicale, en fréquentant la classe de son de Lucien Bertolino. Ses études le mènent ensuite en Italie, où il se familiarise avec l’héritage populaire septentrional et le travail des animateurs-chercheurs du « nuovo canzoniere ». Puis, après deux années en Thrace centrale (Bulgarie), où il découvre un folklore institutionnalisé d’un très haut niveau d’exigence et de contenu artistique, il rentre en France en 1995 persuadé qu’un travail s’impose dans sa région, les héritiers du folk y ayant délaissé le chant au profit de recherches sur l’instrumentarium.